Pourquoi les pays arabes ont perdu leur hégémonie qu’ils ont pu concrétiser depuis le septième siècle ? Cette question est d’une grande importance car elle demeure jusque-làune question d’actualité àlaquelle il faut trouver une réponse. Fouad Khalil a essayé de nous donner quelques éléments de réponse dans son ouvrage intitulé « la pensée arabe de renaissance : la fracture structuraliste». Toutefois, selon le point de vue d’un économiste les arguments avancés dans ledit ouvrage manquent, ànotre avis, de certains aspects méthodologiques et analytiques qui peuvent réduire l’efficacité d’analyse présentée par l’auteur. Le présent article essaye, en premier lieu, de présenter l’ouvrage et, en second lieu, de discuter et critiquer ses apports en matière de résultats trouvés.